"En 1940, il n'y a plus de carburant. Pourtant, il faut trouver un moyen de rouler. C'est une question de survie. Alors, on roule. On roule très peu mais on roule : au gazogène, au gaz ou à l'électricité". Dans un ouvrage remarquable, intitulé "les véhicules de l'occupation", Jacques Borgé et Nicolas Viasnoff nous racontent l'histoire des véhicules au gaz pendant la seconde guerre mondiale. Nous y apprenons, par exemple, que "le gaz de ville comprimé (l'ancêtre de notre GNV), présente de nombreux avantages : transformation facile des véhicules, possibilité de passer de l'essence au gaz et vice versa,…